Les résultats
sont sous-évalués, compte-tenu du temps imparti à
l'étude et les comparaisons inter-entreprises ne sont pas significatives.
Par opposition aux
coûts cachés, les coûts visibles possédent
une dénomination comptable tels que charges de personnel ou achats
de matières premières. Les coûts cachés
ne sont donc ni quantifiés, ni surveillés. Ils ont pourtant
une incidence sur le résultat de l'entreprise mais, comme ils sont
cachés, ils ne sont pas pris en considération lors de la
prise de décision de management.
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- Résultats
financiers importants obtenus :
Sur
l'ensemble des actions-pilotes
évaluées : de 20 000 € à 70 000 €
par personne et par an de réduction de coûts cachés
reconvertis en économies de charges et accroissement de produits
(notamment de chiffre d'affaires rentable) et développement de
l'investissement incorporel autofinancé.
On
obtient simultanément l'amélioration de la satisfaction
des personnes extérieures (clients, fournisseurs et autres parties prenantes) et des membres
de l'entreprise (dirigeant, cadres, employés, ouvriers)
Comment
obtenir ces résultats ?
Les
grandes questions auxquelles les recherches-interventions
de l'ISEOR se sont efforcé de répondre
sont :
- Comment atteindre
un niveau de performances socio-économiques plus élevé
et durable ?
- Comment
implanter un nouveau mode de management bien acclimaté
aux caractéristiques de l'entreprise ou de l'organisation et
à sa stratégie ?
- Comment
réussir la greffe de nouvelles idées, de nouvelles
technologies, de nouvelles organisations, de nouveaux produits, de
nouveaux rapports aux clients, de nouveaux savoir-faire, d'un nouveau
mode de fonctionnement de l'entreprise sans rejet, sans blocage, sans
bouleversement, tout en aidant l'entreprise à se transformer
en profondeur (métamorphose) ?
L'entreprise
ou l'organisation après l'intervention
socio-économique
Les
actions pilotes d'implantation
du management socio-économique sont conduites depuis 1978 aussi
bien dans des PME que dans de grandes entreprises : large
éventail d'organisations employant de 4 à 30 000 personnes,
aussi bien privées que publiques, prospères ou en difficulté.
La capacité d'adaptation de la méthode socio-économique
a permis son application dans plus de 2 125 entreprises et organisations
d'une grande variété de secteurs d'activités (72)
et dans 46 pays sur 4 continents. |